Un chien d’ivrogne, un mime amoureux, une muse éperdue, une bonne assassine, un dieu ivre-mort, un
chômeur désabusé, un médium médusé - comme autant de portraits chantés.
A l’aquarelle ou au couteau, à la sanguine ou à la pierre noire, Julia, portée par le piano tendre et
déchaîné d’Alexandre, chante nos errances et folies, nos amours, nos excès, nos promesses....
Chansons empruntées aux répertoires de Damia, Serge Reggiani, Anne Sylvestre, Allain Leprest,
Mariane Oswald, Jean Guidoni, Marie-Paule Belle, Juliette.
Chant : Julia Campens
Piano : Alexandre Javaud


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